Législative à la Tshangu et à Kimbanseke : Chamberlain Mbongopasi doublement tête de listes MLC !
Les nouvelles sont plutôt très bonnes, pour le MLC Chamberlain Mbongopasi, à la députation nationale à la Tshangu et provinciale à Kimbanseke. Des rapports d’observateurs et témoins le placent en tête de listes de cette formation politique dans ces deux scrutins. Et cela, avec des écarts de voix qui semblent difficile à combler par notamment son poursuivant direct.
C’est le cas de le dire avec des résultats dans plusieurs bureaux de vote de la commune de Kimbanseke, Masina et Maluku où le numéro 1157 à la législative nationale coiffe tous ses co-coreligionnaires aux poteaux. A titre d’exemple, le bureau de vote « La Cruche » dans la commune de Kimbanseke.
Sur un total de 207 votants, le représentant du MLC a raflé, à lui seul, 101 voix laissant les restes aux 1.332 candidats à la législative nationale dans la circonscription électorale de la Tshangu. Celui qui le talonne, dans ce bureau de vote, n’a eu que 7 voix, seulement !
Au bureau de vote collège saint Frédéric, il est aussi premier avec 66 voix et 38 pour celui qui vient après. A Kingasani, au quartier Mikondo, où il y a le député national Mota Ngaliema, c’est le numéro 1157 et uniquement lui qui sauve les couleurs du MLC. Idem dans la quasi – totalité de bureaux de vote, où c’est toujours lui qui sauve les meubles MLC.
A Masina, ses scores sont si bons que ça fait des aigris. Des gens qui se croyaient « roi » dans cette commune sont désorientés face aux voix obtenues par le candidat MBONGOPASI.
Par ailleurs, à la provinciale Kimbanseke, même constat. Ce n’est finalement que dans un seul bureau où un autre candidat du MLC devance le candidat numéro 453 et seulement avec deux voix, soit 58 voix contre 56, font savoir les mêmes rapports. Et les restes, ce champion de circonstance se retrouve noyé dans le rang, très loin derrière Chamberlain Mbongopasi.
« Qui est- il ce monsieur, il a des voix et de très nombreuses dans quasiment tous les bureaux de vote de la Tshangu », s’exclame un observateur. C’est tout dire.
